Le climat social fait partie des éléments indispensables au maintien de la motivation des salariés et donc de la productivité de l’entreprise. Cette affirmation est le préambule incontournable de l’engagement managérial de demain indissociable du dialogue qui doit être quasi permanent entre les acteurs de la vie de l’entreprise.
Le manager 2030 doit être en proximité des salariés et de la direction afin de veiller à ce que les intérêts différents et complémentaires existants au sein de l’organisation que constitue l’entreprise puissent perdurer et ne pas devenir conflictuels.
Le climat social fait partie des éléments indispensables au maintien de la motivation des salariés et donc de la productivité de l’entreprise. Cette affirmation est le préambule incontournable de l’engagement managérial de demain indissociable du dialogue qui doit être quasi permanent entre les acteurs de la vie de la vie de l’entreprise.
L’épanouissement personnel et la satisfaction individuelle des salariés sont deux paramètres que le manager ne peut pas ignorer, auxquels l’atteinte de l’objectif de performance de l’entreprise est subordonnée ; objectif dont toute organisation est dépositaire, désireuse d’accroître son activité principale, au-delà de l’obligation, par l’effet de la conjoncture, de préserver et de sauvegarder sa compétitivité sur le marché qui est le sien.
Le manager doit percevoir son rôle comme étant celui d’un coordinateur, tel un « chef d’orchestre », gardien de l’harmonisation musicale afin d’assurer la pérennité de la force de travail émanant des salariés, déployée en direction de la finalité économique de l’entreprise, leur permettant d’assurer leur pouvoir d’achat et de garantir la stabilité de l’entreprise à laquelle ils appartiennent.
